Dernières infos

Dans la nuit du mardi 21 au mercredi 22 avril, Panamza fut le premier média en France à signaler la mise en ligne d’informations confidentielles relatives à l’actualité.
https://twitter.com/Panamza/status/1252747316827762689

Le lendemain, le Washington Post et les médias mainstream français ont rapporté (sans le détailler) le piratage de dizaines de milliers d’adresses email de membres de l’OMS, du labo franco-chinois de Wuhan, du département américain de la Santé et de la Fondation Gates.

Deux jours après, voici les premières infos importantes à ce sujet, en attendant les prochains développements :

– La divulgation résulte d’un hacking non concerté opéré par deux groupes : l’un composé de chrétiens scandinaves millénaristes, l’autre animé par des patriotes américains antisionistes.

– Ces deux groupes ont été aussitôt censurés sur les réseaux sociaux. Toute mention renvoyant à leurs sites et leurs vidéos a disparu des principales plate-formes américaines.

– Dès le mardi 21 avril (soit la veille de la dissémination massive de ces documents), une officine de désinformation bien connue des lecteurs de Panamza (le groupe SITE de l’Israélo-Américaine Rita Katz) avait affirmé qu’un groupe de prétendus “néo-nazis” avait piraté l’OMS et la Fondation Gates.
https://fr.sputniknews.com/international/202004231043630083-des-mots-de-passe-de-loms-mis-en-ligne-par-des-neonazis-qui-soutiennent-les-theories-du-complot/

– À ce jour, plusieurs activistes indépendants et lanceurs d’alerte à travers le monde continuent de travailler sur ces infos. Une poignée indique notamment détenir d’ores et déjà la preuve de virements bancaires et courriels suggérant la main-mise de la Fondation Gates dans le récit officiel et mensonger de la genèse du coronavirus.

– Pour des raisons évidentes, Panamza ne publiera pas les infos confidentielles du personnel de l’OMS et des autres organismes -sauf si elles comportent des éléments d’intérêt public à propos de l’actuelle gestion de crise sanitaire. Le travail d’enquête dans une vigilance renforcée (toute divulgation d’un hacking est suspecte par nature) continuera.

– À noter, un point-clé : cette semaine, beaucoup d’internautes se sont naïvement réjouis de la publication (intervenue autour du 22 avril) par Wikileaks de l’ensemble de leurs “dossiers” (files). Les hackers de l’opération Gates/OMS ont déjà fait savoir sur leur plate-forme que cette publication était un leurre destiné à détourner l’attention de l’opinion publique. Mieux encore : ils affirment que Wikileaks (avec laquelle ils ont collaboré ponctuellement dans le passé) serait une organisation sous total contrôle israélien. Cette allégation expliquerait l’indifférence revendiquée (depuis 2010) de Julian Assange à propos du 11-Septembre (une opération dirigée par le Mossad) ainsi que la quasi-absence de documents Wikileaks compromettants pour Israël.

Affaire à suivre…sur Panamza.